• chapitre 10 prend une balle pour moi bébé

    Que dire de toi Fabou 

     

    il a peu  vraiment très peu on sait revu, inconsciemment je pense qu'une part de moi avait envie de te revoir je t'ai prit dans mes bras. Ce qui n'est pas anodin pour moi même mes proches amis on droit à un câlin.

     

    Mais j'ai eu envie de plus embrasser ton cou qui m'appelait comme avant  j'aurais pu le faire avant pour pouvoir y planter mes crocs dans ton cou. Chose que tu aurais pu faire si tu avais  tes longues quenottes d'antan.

     

     

    Toi  et moi on  a commencé du mauvais pieds et .... quel pied je t'ai tiré  dessus. Je m'en veux encore des fois je pense à nos soirées en tête à tête avec wolfie.  On aurait pu être heureux si tu ne m'avais pas tourné  le dos.

     

    Tu pensais surement que je ne t'aimais pas.  Peut être que tu as vu que crowley et son ami ça marchait pas.  Tu t'ai dit peut être allons faire souffrir michael  il en vaux pas la peine j'ai eu ce que j'ai reçu je peux partir.

     

     Mais tu étais comme moi avant tu aurais du me comprendre je suis un vampire. Etre ainsi nous font ressentir plus de choses que les Hommes. Nous sommes pas des surhommes d'accord nous avons plus d'âmes  mais nous pouvons ressentir  milles plus intensément que les humains. Je t'aimais bien que je ne le montrais pas pour ne pas être blessé mais je t'aimais.

     

    Quand tu m'a quitté en me claquant la porte ça m'a fait mal mais je m'y attendais.

     

    Quand je me suis retrouvé face à toi en sentant le souffre tout fumant. Tu m'a laissé entré chez toi j'ai vu ton inquiétude dans ton regard pas de la pitié. Cette même inquiétude je l'ai aussi pour toi car lorsque  mes pieds foulent la terre je pense  à ma  vie passé présent et futur.

     

    Tu as fait et tu fais encore parti de moi  à l'heure actuelle.

     

     Tu m'a dit de prendre une douche *rire*   et j'ai du me changer jusqu'au boxer en mettant tes vêtements.

     

    Je sent toujours ton shampoing  tes vêtements  pliés sont dans ma chambre à l'esperanza .

    Je les regarde encore  j'ai eu des pensées lubrique en m'imaginant avec toi sur un lit toi contre moi et j'ai eu une très forte envie que j'ai assouvis. J'en ai même eu honte parce que l'endroit ou je me suis fait du bien c'était mon bureau et je n'avais pas fermé la porte à clés.  Je mentirais en disant je n'ai plus de pensées ou de sentiments pour toi. Quelques fois quand tu ferme les yeux je viens chez toi et je veille sur toi sur ton sommeil protégeant tes nuits.  

     

    chapitre 10 tape dans le pieds


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